Du 25 mai au 21 juin, l’Office franco-québécois pour la Jeunesse (OFQJ), le Bureau International Jeunesse de Wallonie-Bruxelles (BIJ), Les Offices Jeunesse Internationaux du Québec (LOJIQ) et l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) ont organisé la première résidence francophone de création en photographie et poésie. 4 photographes et 4 poètes ont travaillé en collaboration grâce aux outils numériques pour croiser leurs regards artistiques entre la France, le Québec, la Belgique, le Burkina Faso et le Congo. Pour mettre en valeur leurs créations, un compte Instagram spécial “Les Intimiste.s” a été créé et sera alimenté jusqu’au mois de juillet avec leurs œuvres = @Residence_LesIntimiste.s
Les Intimiste.s : les oeuvres de la résidence artistique à travers un compte Instagram
Regroupés par binômes, les artistes ont fait dialoguer leurs poèmes et leurs photos autour du thème de l’Intime tout au long de la résidence. Sur ce compte Instagram, ils exposeront ainsi leurs créations en miroir mais également les coulisses de leurs processus créatif et leurs réflexions sur leur propre rapport à l’intime. Tous les deux jours, les productions d’un nouveau binôme seront partagées.
Stories, publications, identification et mots-clés : les travaux de nos 8 artistes s’exportent ainsi sur les réseaux sociaux, après une phase de création qui se déroulait du 25 mai au 10 juin. L’édition d’un fanzine spécial regroupant toutes les productions de la résidence est programmé pour l’automne 2021.
Rendez-vous sur le compte @Residence_LesIntimiste.s pour suivre leur aventure.
Les binômes de la résidence artistique
La photographe belge Odessa Malchair travaillait ainsi avec Tina Laphengphratheng, poètesse québécoise.
Le français Paul Acquitter a posé ses lignes de poésie sur les photographies de Lebon Chansard Ziavoula, dit Zed, situé au Congo.
Victorine Alisse, la photo-reporter française était en binôme avec le metteur en scène et poète belge Aurélien Dony.
Enfin, la gagnante des Jeux de la Francophonie Oliva Wend Kuuni Ouedraogo, du Burkina Faso, a travaillé aux côtés de Samuel Graveline, photographe basé à Montréal.